Alkhmar [... ] Tarhaz

I/ Identité

Nom : Tarhaz
Prénom : Pyrrhus Lemuel Honeysheen Javan Adino Pelagius Makar Euthymius Eleutherius Nikomedes Carsten Yuzaël Cynefrið Cepheus Arsenios Draco Jethro Zoticus Haggai Eysteinn Shemer Nathan Uriah Varius Achaicus Alkhmar. Mais il n'utilise qu'Alkhmar en public, et ses autre prénom en nom caché.
Surnom : Satan, le Diable. Il n'en a pas tant que ça, d'ailleurs vue tous ses noms, il n'a pas forcement besoin de surnom.
Age : C'est le chef des enfers, on ne sait pas son âge. Il est là, et il compte le rester, c'est tout.
Sexe : Masculin
Lieu de naissance : Les enfers
Lieu de vie : Les enfers, et là ou il peut avoir un semblant de calme.
Race : Démon.
Camp : Le sien. Il fait ce qu’il veut, où il veut, quand il veut. Si ca doit mener a une guerre, alors il y aura la guerre. Si c’est contre les principes démoniaque, et ben c’est comme ca, et pas autrement.
Pouvoir : -Les pouvoirs d'Alkhmar est un pouvoir très simple: Il peut lire dans les réseaux où le flux de la magie circule. [Dans les corps et le monde l’entourant] Il peut ainsi lire les pensées, prévoir les mouvements, etc. Mais le plus impressionnant c'est qu'après un travail acharné à travailler son pouvoir, il peut désormais même contrôler un tout petit peu ce flux, lui permettant ainsi de dévier des attaques de quelques millimètres. Ce qui est largement suffisant pour éviter les blessures mortelles.
-Evidement, notre trés cher peut controler les enfers. Je veux dire par là, qu'il peut jouer avec le feu infernal, invoquer des monstre infernal, etc.
-Et son dernier pouvoir est un pouvoir trés simple, mais trés utile. Il peut crée des portails a fin de se téléporter. Au début, c'était trés simple et petit, mais désormais il pouvait faire passer son armée dedans.
Métier : Roi des Enfers, et compte le rester
Arme : Ses griffes, ses dents, son corps. Il adore ce battre de manière bestiale. Au pire des cas, il utilisera une épée effilé.
Sexualité : Bisexuel. En faite, le sexe l'intéresse peu, après tout, tant qu'il peu avoir un orgasme, rien n'a plus d'importance. Alkhmar est une bête, très intelligente et rusé, certes, mais néanmoins, il en reste pas moins un monstre.

II/ Physique

Taille : 1m 80, Alkhmar est assez grand mais il a un corpulence très élancé et gracieuse.
Poids : 60k, son poids est constitué essentiellement de muscle.
Couleur des yeux : Un douce couleur doré, chaleureuse et amicale. Un piège quoi.
Couleurs des cheveux : Gris, ou plutôt, argentés. Virant sur le marron clair.
Style vestimentaire : Il ne porte pas d’habit. Depuis quand une bête s’habille-t-elle ?

III/ Caractère

Qualités : Les qualités d’Alkhmar ? Il se bat comme un chef. C’est, c’est indéniable. Alkhmar est une arme a lui tout seul. Aussi, cette puissance bestiale ce mélange a son intelligence. Oh dieu que oui, si vous me permettez l’expression, Alkhmar est intelligent. Diablement intelligent même. Aussi, magnant son pouvoir avec son duo d’intelligence et du force, cela fait de lui un adversaire redoutable. Car oui, l’une des autres qualités de notre divin roi est sa ruse. Alkhmar est quelqu’un, malgré ses différent question physique, de très charismatique et séduisant. Ses grands yeux dorés semblent toujours chaleureux. Ce n’est qu’un piège, un appât. Rien de plus, rien de moins.
Défauts : Ne lui posez jamais cette question en face, il y a très peu de chance que vous vous en sortiez vivant. « Je n’est aucun défaut », voilà ce qu’il vous dira. Sans ça, vous avez sûrement compris qu’il est impulsif. Mais pas comme un enfant, nous, ce serait plutôt l’impulsivité d’une bête, d’un fauve. Il est évidement égocentrique et nombriliste, comme tout démon qui se respecte. Après, prenez tous les défauts d’un monstre. Colérique, rien ne peut le résonner lorsqu’il est dans ces phases de colère. (Un don qu’a hérité sa tendre et chère fille.) Ensuite, il n’a bien évidement aucune pitié. Que ce soit pour ses « amis » ou ce qui se disent tel (Car Alkhmar n’a pas d’ami, il n’en veut pas et ne sait même pas ce que c’est), ses enfants, ses femmes (Et hommes), etc. Alkhmar n’est pas l’une des créatures les plus patientes que la terre ait portées, néanmoins, lorsqu’il s’énerve, ce ne sont pas, généralement, pour des choses importantes. Lorsque les choses qui le poussent à bout sont importantes, il devient glacial et joue avec la personne l’ayant mis hors de lui comme le ferait un chat avec une souris. Il s’évertue à la torturer tant mentalement que physiquement si bien qu’elle ressort jamais indemne, voir même vivant. Et c’est bien son but. Lorsqu’il sort vraiment de ses gonds c’est généralement pour un motif inconnu. Cela pourrait être juste un lacet défait sur la chaussure d’une personne, une tâche, un sourire qui lui a déplu, le soleil qui chauffe trop sa peau et bien d’autres choses. Il entre alors dans une rage folle, dévastatrice.

Aime : Ce qu’Alkhmar aime ? C’est une bonne question, a creusé de toute évidence. Il aime, aussi étrange que cela puisse paraître, le calme. Il aime les belles choses, les choses qui brillent. Il adore manger. A ça, c’est un fait. Et, oui vous ne revez pas, Alkhmar aime le monde des humains. Il aime le ciel, les nuages, l’herbe, les champs, les arbres. Il adore se balader dans les contrées lointaines. Il se sent léger, et aussi libre qu’un oiseau. Il adore aussi les esclaves [Pour assouvir ses désirs charnels]et il adore de même le sexe.
Aime pas : Alkhmar n’aime pas beaucoup, beaucoup de chose. Il déteste l’ennui, le sentiment de ne rien avoir a faire. Il n’aime pas les mauvais cuisiners, il déteste ses enfants même s’il en est fier, et encore, pas pour tous. Il a une dent contre les légumes, il hait les grandes gueules, il déteste… Oula, je m’arrête là, sinon il y aurait encore trop de truc …

IV/ Histoire

-« Tous pourris. »

L’ombre ensoleillée s’étira divinement, sourit avec mesquinerie puis, reprit son récit.

-« Comme moi, en somme. »

Deux grands yeux brillants caressaient du regard les paroles qui s’échappaient de la bouche souriante. Avec une touche d’admiration.

-« Mais en pire. »
-« La même mais en pire. »
-« Tu apprends vite. »

La petite bête, qu'on pouvait qualifier de "Garcon", était allongée sur le rebord de la fenêtre, un bras comme mort, se laissait choir dans le vide, caressant l’air d’un imperceptible mouvement de balancier. Sa tête repose mollement sur son autre bras alors que ses yeux vifs ne quittent pas cet « autre ». L’autre c’est lui, cette ombre buissonnière qui côtoie le massif de roses noires sous la blanche fenêtre, et les timides rayons de la lumière des enfers font rougeoyer sa chevelure sombre. Dans ses grand yeux ambres miroitent des rêves perdus de vengeance, sur ses lèvres carmin un cruel sourire et, flottant sur son aura, une odeur d’amertume sauvage et mélancolique. Presque nostalgique. Sur ses mains ? Du sang. Fasciné par cette «Boule de nerf», cette petite chose qu’il chérit et considère comme un fils, lui qui ne possède pourtant aucune once d’amour et de pitié, se sentait fléchir devant ces yeux verts et innocents. Trop de faiblesse, trop de danger, trop de risque. Mais il aimait ça. Presque autant que d’enfoncer ses ongles dans une chair tendre qui laisserait bientôt se déverser cette essence de vie qui le souillait chaque fois plus et tissait un lien intime entre lui et celui qu’il accompagnait aux limites de la vie. De sa vie.

-« Je les ai bien connus moi. »
-« Tu m’as déjà dit . »

-« Savoir que leur descendant est dans une ignoble famille me met hors de moi. Bon sang ! Pourquoi te refuses-tu à me suivre ! » Ce n’était même pas une question.

-« Parce que. » Ton tranchant.
-« … »

La discussion tournait en rond, le serpent se mordait la queue. Lumiel mordait la queue d’Alkhmar qui mordait la queue de Lumiel, ils n’avançaient pas. À chaque fois c’était pareil.

-« Mais en pire. »

Lumiel se mit à rire. Le petit aimait le provoquer, il était conscient et jouait avec ça, que leur discussion reviendrait à chaque entretien et que si aucun des deux ne faisait un geste, en particulier lui, car c’était bel et bien de sa faute, jamais ils ne s’en sortiraient. C’était un éternel recommencement et lui était un éternel joueur et éternellement faisait mine de ne rien voir. Le brun soupira, il ne savait que lui dire, comment le persuader, il n’osait même pas lui poser de questions, il ne se souvenait que trop bien de sa réaction à chaque fois. Il le fixa durement et lui donna une petite claque sèche. Alkhmar se redressa d’un bon et montra les crocs. Oui. Les crocs. Après tout, il n’avait plus rien d’humain. C’était un monstre, et même aux enfers, il était considéré comme laid. Alors qu’au contraire, Alkhmar était magnifique. Une élégante sauvagerie émanait de tout son être, produisant biens d’étranges sensations.

-« Comment ça se passe ici ? Cynefrið j’exige que tu me le dises. Ils te traitent bien ? »
-« Presque. »

Lumiel appelait toujours Alkhmar par ses innombrables prénoms. C’était, lui avait il expliqué, afin qu’il n’en oublie aucun.
Enfin, la loquacité n’était pas la qualité la plus appréciée d’Alkhmar par Lumiel. À chacune de ses questions marécageuses, Alkhmar répondait par une réponse vaseuse. Tout était toujours approximatif, presque, à moitié, peut-être, il serait possible, envisageable etc. C’était devenu presque un jeu entre eux deux. Presque. Car ce petit jeu commençait a fatigué Lumiel… Alkhmar avait maintenant 8 ans. Seul Lumiel savait qui était le père, le véritable père d’Alkhmar. C’était un démon de haut rang, qui après avoir fait un massacre dans ses propres troupes pour des raisons obscures [Il n’en avait aucune, juste celle qu’il aimait le sang] avait été bannis. La mère d’Alkhmar n’était qu’une pute, une démone qui offrait son corps. Une démone remplie de vice et de perversion. Or, tel était le problème. Un sacré gros problème. Les veines tentatives de Lumiel tombaient toutes à l’eau. Car Lumiel était un démon, certe, mais un bon démon. Il ne ressemblait pas a ces boules de nerfs, d’impulsivité et de haine habituelles. C’était désormais ancré dans ses veines: Alkhmar aimait le sang et il était remplie de perversion. Il avait sans doute trop hérité de ses parents. Lumiel savait que Alkhmar deviendrait quelqu’un d’horrible. D’ailleurs, il était bien conscient de ne rien être aux yeux de son protégé.

-« Tu manges à ta faim ? LEMUEL LAISSE CE PAPILLON ! »
-« Peut-être. Tu as quelque chose contre les papillons ? »

Lumiel jeta un regard de défi à l’ombre qui répondit à ça en broyant entre ses mains blafardes la petite fée aux ailes bleutées. Alkhmar cracha, comme le ferait un chat. L’aîné s’impatientait, n’était-il donc pas possible d’avoir une conversation réelle de plus de deux phrases avec ce gosse ?

-« Pourquoi tu viens toujours me voir ? »
-« Parce que. »
-« Je veux savoir, ne joue pas à mon rôle avec moi, je me connais. »
-« Que tu crois. »
-« Réponds moi ou je rentre et je ferme la fenêtre. »
-« Parce que je me le suis promis. »
-« Menteur. Tu n’es pas assez digne et respectueux pour promettre quelque chose. »
-« Parce que j’en ai envie »
-« Pourquoi ? »
-« Merde Alkhmar tu fais chier là ! Tu es insolent et tu m’ennuies. Je reviens demain. »

Le brun sortit discrètement du massif de roses, sauta la palissade blanche et disparut. Ledit Alkhmar le regarda partir avec un regard triomphant. Il se laissa tomber sur le sol et ferma la fenêtre. Cette habitation dans le quel il était ne lui convenait pas du tout. Le manque de liberté était atroce. Comme le manque de sang. Mais ses parents adoptifs lui avaient dit qu’il ne fallait pas boire le sang de n’importe qui, et surtout, qu’a son age, il n’avait pas le droit. Mais oui…. Il s’allongea sur le lit et plongea la tête dans l’oreiller moelleux en plumes d’oies. Puis doucement, il tomba dans le sommeille. Et c’est ainsi qu’il refit le même rêve. C’est a dire aucun. Il se réveilla. Il était toujours dans cette chambre, la tête dans son oreiller. Presque vide. Sa chambre était presque vide. Il y avait bien un meuble contentant des vêtements, un miroir, un canapé en face d’une télévision, une armoire avec des livres et un fauteuil proche de la fenêtre. Et le lit, évidement. Dans un coin, il y avait une tortue dans un aquarium. C’était sa seule véritable amie. Jadis. La chambre était sommairement décorée. Tout était bleu. Un papier peint bleu, des draps bleus, des meubles bleus… Certes, il n’était pas maltraité. Il avait de quoi subsister, ont le nourrissait, il avait une maison. Mais toute la famille était très antipathique a son propos. Ils ne l’aimaient pas, et ils ne lui laissaient aucunes libertés.

ouaiiiiiiiiiiii papounet

**lui saute dans les bras**

mon p'tit papa je suis trop contente de te voir, je vais enfin te montrer tout mon amour .... en te tranchan la tête XD

Mais non Shinta tu ne trancheras pas la tête de ton cher Père, je suis certaine que nous pourrons régler vos différents par une discussion aimable et pacifique autour d'une table au coin d'un feu infernal comme des personnes civilisées.

Quoiqu'il en soit, bienvenu !

-__-' Sixtine coucher! je t'ai pas autoriser a parler et surtout je tai dis de ne pas t'aprocher des membres de ma familles >>

(ps: désoler pour le retard du poste Sixtine mais g pas trop le temp en se moment ^^')

Oula, les enfants, on ce calme. Regler ca pacifiquement? Beuh, pas moua, je suis pas une tapette moua.
Et essaye un peu de me trancher la tête, avec amour ou sans ca je m'en tamponne l'oreille avec une babouche, tu verras ce que tu verras! Grouaaaaaahh! XD [Bon je vais finir ma fiche peut etre XD]

[Désolé du double poste [Du poste d'aprés] Mais c'est la suite de mon histoire alors bon ...]

Un soir, Samaël (L’homme des lieu), Galalithël (Sa femme) et la petite allaient sortir. Ils étaient de soirée, une soirée à thème comme ils avaient l'habitude d'en faire, soirée huppée avec démons riches et snobs. Soirée bleue. Bleue comme la liberté. Lumiel guettait du massif du roses, ils s'en iraient bientôt, et il emmènerait leur gamine. Il frémissait de plaisir, il allait enfin l'amener avec lui. Le libérer de cette famille et surtout, apprendre a Alkhmar les règles de vie. Le garçon surveillait aussi tous les faits et gestes de la famille, qui s'admirait, se lançait des fleurs, s'arrangeait. Ses grands yeux suivaient les allers et venues avec l'attention d'un chasseur. Il se tenait bien droit, ses cheveux attachés en catogan, il voulait se montrer fier, digne et humble. Samaël sortit de la salle de bain alors que sa femme l'appelait pour la quatrième fois. Il était nerveux et pressé. Il se dirigea vers Alkhmar qu'il saisit par le menton et lui cracha littéralement à la figure en resserrant son emprise :

-"La MOINDRE erreur vermine... N'oublie pas."


Lumiel fulminait, Alkhmar tremblait. "C'est ça c'est ça, partez, laissez-moi ! Laissez moi seul !!!" pensait le démon. Mais sa rage prit le dessus. Il cracha, comme un chat, montra les crocs. Le géant ce retourna et son regard croisa le regard impérieux du jeune garçon. Samaël saisit un vase sur le secrétaire et l'envoya sur Alkhmar qui n'eut pas le temps de réagir et le prit sur la tempe. Il resta quelques secondes assommées, quelque peu étourdit, et soudain, il fut secoué de frisson, ses yeux se réduisirent à une petite fente, comme ceux des serpents ou des félins. Il se crispa, un long feulement s'échappa de sa gorge. C’était le pouvoir qui circulait en lui. E pouvoir de la haine. Samaël se tourna vers lui avec un sourire sadique, il était dément. Sujet à l'hypertension, ce dernier était en proie à nombre de crises de colère, si bien qu'il semblait toujours fou lorsqu'il s'énervait.

-"Alors? On s'énerve ? Mais viens, viens donc ridicule petit bâtard."


Il lui lança un cendrier dessus. Alkhmar l'arrêta d'un coup de griffes metallique. Il ne voyait pas rouge, il voyait bleu, les murs au papier peint outre-mer, les yeux de leur putain de fille, leurs vêtements bleu ciel, bleu marine, le canapé du salon, tout était d'un immonde bleu ! C'était pas bleu liberté c'était bleu mort, c'était si laid, si laid, et Alkhmar détestait la laideur ! TOUT ÉTAIT AFFREUX ICI ! ILS ÉTAIENT AFFREUX ! ILS PUAIENT L'HORREUR! Il se jeta sur lui sans plus de cérémonie. Un coup de griffes, il vint se placer dans son dos, il fonça à nouveau sur lui, un nouveau coup, il se plaça à quelques mètres de lui, le contempla. Ah ! c'était mieux ainsi, maintenant que son visage était si ravagé qu'on ne lui voyait plus la peau. Il accéléra, un autre coup, il revint en piquée, il ne laissait pas le temps au mort de tomber, chaque fois il revenait vers lui. Le dernier coup, il enfonça ses griffes et remonta doucement dans tout son torse puis, délicatement laissa retomber le cadavre sur le sol. Galalithël et sa fille criaient, elles étaient coincées devant la porte, elles ne pouvaient plus bouger, elles n'osaient plus. Galalithël n'eut que le temps de sortir son portable pour appeler la famille. Pour appeler quelqu’un qui punirait ce démon. Alkhmar était deja sur elle. Il enfonca ses crocs dans la chaire de la femme, et aspira le sang. Il lui lacéra le corps, le visage. Puis Lumiel entra. Il sentait que les choses s’envenimaient. Il enfonça doucement ses griffes dans le petit corps de l'enfant qui s'endormit sur le coup alors que ses parents baignaient dans leurs propres essences de vie.

-"Bonne nuit Madame... Pyrrhus ! PYRRHUS QU'EST CE QUE TU FAIS ! ARRÊTE ! Ne nous attardons pas ! Allez viens, vite !! Arrête !"


Le garçon en question avait lacéré le canapé de sorte qu'il se trouvait être blanc maintenant, le papier peint était déchiré, couvert de balafres, tout ce qui eut pu être bleu dans ce salon, avait disparu. Alkhmar se retourna vers Lumiel. Il ne disait rien, sa tête basse, ses longs cheveux lui cachant le visage. Lumiel s’approcha et lui saissit le bras.

-"Allez on bouge ! Sacré gosse, tu es un bon tueur. Comme ton père !"

Couvert de sang et de plumes qui devait appartenir au canapé, Alkhmar peinait à avancer. D’ailleurs, il ne voulais pas avancer. Il redressa la tête et plongea son regard dans celui de son protecteur. Sa pupille se rétracta et il enfonça ses griffes dans le corps, et le cœur, de Lumiel. Celui ici, surprit, ne put parer cette attaque. Il tomba a genou, ce qui le fit se placer a la hauteur du « félin ». Il resta silencieux, ses yeux écarquillés par la rapidité du coup et surtout par la stupeur. Il bougea soudain, crachant du sang. Les griffes d’Alkhmar était encore profondément enfoncé dans le cœur de Lumiel, littéralement et physiquement parlant, et le garçon ne semblait pas décider à les enlever. Un larme naissait dans l’œil de Lumiel, qui glissa le long de la peau fatiguée et tirée puis mourut sur ses lèvres. Lesdites lèvres s’ouvrirent, puis se refermèrent lentement. Un doux sourire vint prendre la place de ce visage triste. Et d’une voix triste, entrecoupé par sa respiration hatelante, Lumiel annonça:

« J’ai pas réussit a tenir ma promesse, il faut croire que tu es fait pour être mauvais. Je voulais… Je voulais seulement que tu deviennes comme moi. Mais tu es… Complètement fou, et tu… Tu es fasciné par le sang... Moi je t’aimais… Mais est ce que… Est ce que… » Il cracha encore une fois, et une autres larmes apparut. Il essaya de capter le regard du garçon.
« Est ce que tu m’as un tant soit peu aimé ? Dit le moi…. Alkhmar… Est ce que… Tu… M’aimais ?»

Sa vue se brouillait. Tout devenait flou autour de lui. Alkhmar redressa la tête, et ses longs cheveux tombèrent sur ses épaules et libérant la vue de son visage. Lumiel crut apercevoir des larmes. Il sourit.

« Je suis… si… heureux » Et il mourût, persuadé dans ses derniers instants qu’Alkhmar l’aimait et pleurait pour lui. Mais Alkhmar riait. Il éclata de rire, un rire doux qui résonnait comme le doux échos d’une cloche de cristal, qui dans le moment présent résonna comme une sonnette d’alarme. Il dégagea ses griffes du corps de Lumiel, celui ici retomba sur le sol, parmi les plumes, les cadavres, le sang et des morceaux de couleurs bleus.
Akhmar partit ensuite de cette maison. Il tuait pour vivre, tuait pour le plaisir, tuait pour la colère… Il décocha rapidement des tas de petits boulots dans le monde des enfers, mais rien ne lui allait et ils ne duraient pas très longtemps. Mais qu’importe, il vivait enfin libre. Deux après, lorsqu’il eut 9 ans, il se rendit complètement par hasard dans la salle du trône. L’ancien roi était quelqu’un de réputé pour sa sagesse [Démoniaque, de toute évidence]pour sa puissance et pour sa maîtrise de soit. Dès qu’il pénétra dans la salle le roi le repéra tout de suite par l’énergie et l’envie de sang qui émanait de lui. Il le considéra de suite comme une menace.

« Qui es tu jeune garçon ? »
« Je suis Alkhmar. »
« Que fais tu là ? »
« Ce que je veux. »
« TU ES LA POUR MOI ? N’EST CE PAS ? SALOPARD DE REBELLE ! »

Effectivement, une rébellion naissait dans l’ombre, rendant le pauvre roi complètement fou. Ses ministres essayèrent de le retenir mais déjà il se ruait sur Alkhmar. Celui ici évita l’attaque et enfonça ses longues griffes acérées dans le dos du vieux roi. Celui ici poussa un hurlement. Alkhmar sourit et murmura.
« Si laid… »
Puis il plongea en avant. Il écrasa d’abord le dos du roi entre ses main, lui brisant la colonne vertébrale dans un bruit atroce. Il sourit, et trancha un bras, puis l’autre. Il termina enfin lui tranchant la tête, et il explosa de rire. Le silence tomba sur l’ensemble de la salle du trône. Seul son doux rire se répercutait le long des parois. Puis il arrêta de rire. Un des conseiller de l’ex roi s’avanca vers Alkhmar. Il lui demanda son nom. Puis il se racla la gorge et annonce a vive voix.

« Moi, conseiller des Rois du Monde Infernal des Enfers, en mon nom et mon pouvoir, et selon le code qui stipule que celui qui tue le roi deviendra le roi, je déclare que Pyrrhus Lemuel Honeysheen Javan Adino Pelagius Makar Euthymius Eleutherius Nikomedes Carsten Yuzaël Cynefrið Cepheus Arsenios Draco Jethro Zoticus Haggai Eysteinn Shemer Nathan Uriah Varius Achaicus Alkhmar Tarhaz est notre nouveau roi! »

Alkhmar ne comprit pas pourquoi tout le monde ce mettait a l’applaudire. Mais il s’en fichait. Il les tuerait tous…

validé mon p'tit papa ^^

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Oula sa va chier shinta!

Je vais remettre ma fifille dans le droit chemin XDDD

toi? me remettre dans le droit chemin? XD désoler mais c'est toi kqu ma tout apri alors ...

Nop! Pas validé!!!!!!

Alkhmar possède trois pouvoirs ^^

J'en choisis un autre ou ca veut dire que j'en est trop [Ce que je comprendrais pas en faite... ]

C'est bon comme ça ^^

*Se met au garde à vous*
Merci chef!