Défouloir (attention scéne de torture)

Shinta était d’une humeur massacrante. Comment avait elle pu perdre de nouveau face a son père ? Il avait réussi à obtenir Sixtine alors qu’elle avait tout fais pour l’en empêcher. A chaque foi c’était la même chose, il gagnait contre elle à tout les coup, pourquoi ? Pourquoi était il plus fort qu’elle ? Pourquoi elle n’arrivait pas à lui tenir tête ? A lui dire tout se qu’elle avait sur le cœur et le tuer une foi pour toute ? Ses frères n’étaient pas la plus grande menace, c’était lui, uniquement lui, cette homme qui la méprisait et qui l’humiliait sen retenu face au autres, ça lui était insupportable.

Shinta marcha dans le châteaux, l’âme noir, les yeux assassin qui se pausait sur chaque personne qui osait lui adresser la parole, non en faite personne n’osait lui adresser la parole, même chaque démon changeait de chemin en sentant son aura meurtrière s’approcher d’eux. Makkura avait préférer rester dans la chambre pour ne pas risquer d’énerver sa maîtresse qui était d’une humeur noir, elle avait perdu une chose qui lui tenait a cœur a cause d’une unique personne, et le pire c’était qu’elle ne pouvais même pas le faire souffrir pour se venger.

Tanatos en main elle descendit les marche du châteaux d’un pat décider. Bien elle ne pouvais peut êtres pas faire suffire son père elle allait donc faire souffrir quelqu’un d’autre …
Elle arriva enfin dans les cachots et choisi une dizain de prisonnier en tout genre, elle en trancha en deux a l’aide de sa faux cinq d’entre eux et fit disparaître Tanatos, puis elle attacha les cinq autre et commença son « jeux »

Le 1ére était un homme de race humain, il devait avoir environ 40 ans, sa virilité fut rapidement arracher dans un grand cris de douleur, puis se fut la langue, les yeux et enfin le cœur, elle fut rapide pour celui là mais Shinta aimais y allez de plus en plus fort.
Le 2élme était un femme d’une trentaine d’année, la princesse fit simple, elle la viola avec un pieux hérisser de pointe pour enfin l’empaler, le pieux lui ressortant par la bouche après lui avoir transpercer les organes.
Le 3éme était un enfants, Shinta aimais bien torturer les enfants, c’étaient des être si fragile et il pleuraient si facilement, après lui avoir casser les deux jambe et les deux bras elle lui en arracha un et l’éventra, le laissant mourir les tripes a l’air pleurant sa mère qui était déjà morte empaler a coter de lui.
Le 4éme était une vielle femme, la grand mère sûrement, elle fut écorcher de la tête au pieds et Shinta ne la tua pas, enfin si mais elle la laissa se vider de son sang alors qu’elle se dirigea ver le dernier qui tremblai de peur et d’horreur en ayan vu les sien se faire massacrer sous ses yeux.
C’était un magnifique jeune homme, il ne devait pas avoir 20 ans, en plein dans la force de l’age, si ça n’aurai pas été un humain il serai sans aucun doute passer dans le lit de la princesse mais là la jeune démon voulait du sang et des cris et ce jeune homme allait lui en fournir

Shinta s’approcha de lui et lui caressa le visage avec ses mains plaines de sang avant de l’embrasser.

- Tu veux vivre petit humain ? si tu veux vivre dis moi se que je veux entendre.

L’humain la regarda et se demanda bien se qu’elle voulait entendre, a vrais dire il en avait aucune idée mais pour lui les démon étaient les même et une jeune femme comme elle devait aimez entendre des éloge. Il dit donc d’une voix tremblante a la princesse.

- vous…. Vous êtes la plus belle, et la plus puissante…. Votre beauté dépasser celle de la déesse… vous …. Vous êtes la maîtresse de tous les démons…

Shinta vit rouge en entendant sa dernière phrase et lui arracha la moitié du visage en lui hurlant.

- NON !!!! Humain stupide !!!!! Vermine immonde !!!!! Justement !!! je ne suis PAS la maîtresse de TOUT les démons !!!!!!! Tu n’as pas dis se que JE voulait entendre !!!!!!!!! tu vas crever comme un chien et tu vas hurler le plus fort possible pour mon plus grand plaisir !!!!

C’était simple pourtant, elle vous tout simplement l’entendre dire que Sixtine ne lui appartenait qu’a elle, que jamais elle ne l’abandonnerais pour son père, qu’elle tuerais son père de ses propre mains et que cette humaine si pur la suivra jusqu a sa mort…. C’était simple non ? et bien il fallait croire que non pour l’esprit putréfier d’un stupide humain apeurer.

Elle passa machinalement sa main sur son ventre, a présent elle avait une belle cicatrise a cause de son père, cette foi ci il l’avait bien amocher, plus que d’habitude même.
L’humain hurlai de douleur, un de ses yeux avait été crever par les griffes de la princesse et des lambeaux de chair de son visage pendaient rattacher par quelque morceau de peau.
Shinta prit un couteau et lui lacéra tout le corps, faisant bien attention de ne pas toucher des point vitaux, puis elle lui arracha une cote, lui trancha le nez et lui arracha l’autre œil. Le pauvre humain hurlai de plus belle, un démon a coter de Shinta s’arrangeai pour qu’il ne s’évanouisse pas car si il perdait connaissance la princesse n’hésitai pas de continuez sur un démon pour continuer d’entendre des cris de douleurs.

Après la rencontre douloureuse entre Shinta et moi-même, j’avais décidé d’aller m’amuser un peu avec des jouets. Non pas qu’elle mets énervé , oh non, loin de là. En plus, après l’histoire dans la grotte avec Sixtine, je me considérai comme gagnant de cette bataille. Même si rien n’était gagné. Non, du tout. Juste, elle avait attisé mon envie de sang et de souffrance.

A pas vif et rapide, je m’étais rendu dans les cachots. J’étais de toute évidence pressé. Pressé d’entendre des hurlements de douleurs, le sang glisser sur mes griffes, sur mes lèvres… Mon corps fut parcouru d’un frisson. De toute évidence, j’étais très très excité. Tellement excité que mes yeux étaient grands ouverts, mes mains se fermaient et s’ouvraient à un rythme régulier pendant que mes crocs s’allongeaient dangereusement. Du sang. De la haine. La colère. J’en voulais, encore et encore. Les gens dans les couloirs étaient tétanisés. Etrangement, on aurait dit qu’ils n’étaient pas surprit, ou plutôt, qu’ils avaient déjà vue cette scène. Oui, évidement, ils l’avaient déjà vue. Mais, on aurait dit qu’il venait tout JUSTE de la voir. Avaient-ils déjà croisés quelqu’un qui avait les mêmes idées que moi ? En me concentrant, je sentis en effet une aura dévastatrice. Celle de Shinta. Qui n’était qu’un pauvre dixième de ce que pouvait être la mienne actuellement. D’ailleurs, elle s’accentuait déjà.

Je pénétrai dans la salle de torture furtivement et camouflai mon envie de meurtre au minimal. J’étais invisible. Puis je me postai prés de la porte et commençai à observer Shinta qui s’énervait. C’était une délectation des yeux. Ma fille ne savait pas comment faire souffrire psychiquement, elle ne savait essentiellement faire souffrire physiquement. La torture physique, certes, c’est bien. Mais la torture mentale… La torture mentale était quelque chose que j’adorais. Et Shinta le savait. Elle était ma proie préférée.

Lorsqu’elle eut fini son manège avec le dernier humain, je sortis de l’ombre en applaudissant, et riant aux éclats. Oui, je riais. Et j’arrêtai de retenir mes envies et pulsions. Un torrent de haine, d’envie de sang, d’envie de meurtre et de souffrance déferla dans la salle crée à cet effet. Mon habituel sourire angélique apparu sur mon visage tandis que je marchais vers l’humain. Je m’arretai juste à la hauteur de sa tête défiguré. Puis je poussais un soupir fatigué avant d’annoncer.




Je passai un doigt sur le visage du jeune homme avant de porter ledit doigt a ma bouche et de le sucer, sucer ce sang qui m’excitait tant. Je me tournai vers Shinta et lui fit un grand sourire.




Je fis un signe aux démons terrorisé qui observaient le père et sa fille visiblement sur la frontière de la bagarre. Et je m’amusais fortement a titiller cette frontière, à venir a sa limite, voir un peu plus. Enfin, mon signe voulait dire : Disparaissez et ramenez de la chaire a canon. Ils s’exécutèrent immédiatement, nous laissant seuls….

Shinta n’avait pas entendu son père arriver, elle était bien trop occuper a se défouler sur le pauvre humain pour faire attention a quoi que se soit autour d’elle, bien entendu si quelqu’un avait essayer de l’attaquer elle l’aurai éviter mais Alkhmar s’avait très bien cacher son envie meurtrière et Shinta fit donc comme si il n’était pas là.
Certes elle ne torturai pas mentalement c’est tortures se limitait a la douleur physique et a la vision, laisser par exemple un enfant voir sa mère se faire déchiqueter où vis versa.
Elle aimais aussi les laisser espérer mais cela ne durait pas longtemps, elle était bien trop impulsive pour les laisser languir.

Shinta sursauta en entendant quelqu’un applaudir et rire au éclat derrière elle, elle se retourna pour voir son père s’approcher du reste de l’humain agonisant. L’homme qui était la cause de sa colère et de sa frustration était juste en face d’elle, un grognement sorti de sa gorge et elle tenta tant bien que mal de se calmer. Que faisait il ici ? Était il venu pour la nargué ? Ça ne lui suffisait pas de l’humilier devant Sixtine il devait en plus la provoqué lorsqu’elle tentait de se calmer.

La princesse des ténèbres ne lâcha pas son père des yeux, ses poings se refermèrent lentement cachant ainsi ses griffes qui étaient prêt a lacérer des chaire puis d’une voix menacent elle lui répondit.

- Je n’ai rien a vous dire père…. Vous avez gagnez cette foi ci mais cela ne se reproduira pas.

Toujours aussi arrogante elle n’arrivait pas a êtres calme devant lui, il la stressait et faisait naître en elles de nombreuse sentiments qui l’égaraient, elle était constamment prise entre l’envie de le tuer et de l’embrasser, c’était insupportable et cela la rendait d’une humeur exécrable.
Elle regarda le démon partir sans regret puis sans prévenir et envoya une boule de ténèbres sur l’humain qui agonisait, son ventre explosa dans une gerbe de sans et son corps fut arracher en deux.
Elle fixa son père d’une regard noir, elle ne lui avait pas pardonner la cicatrise qu’il lui avait fait a l’abdomen et surtout le fait qu’il lui avait retirer les premier faveur de Sixtine, elle était a elle et elle seul avait le droit de la toucher, et non ce père si méprisant et puissant.

( Désoler c’est petit mais bon ^^’)

Je l’observai sursauter. L’avais-je surprise à ce point là ? Ou était-ce qu’en pleine torture, elle ne prenait pas compte de ce qui se passait autour d’elle ? C’était à retenir. D’ailleurs, l’énervement de Shinta était tel qu’elle pouvait le ressentire, il était palpable dans l’air. L’ambiance était aussi épaisse que la crème anglaise, et Alkhmar eu un sourire rien qu’a cette pensée. Les envies de tuer des deux êtres se battaient entre elles, tout cela dans le plus grand silence. Mais, même si Shinta grognait, Alkhmar paraissait calme et posé, ce qu’il était tout naturellement. Mais ce n’était qu’une façade, car des deux, c’était celui qui grognait le plus. Il grognait d’impatiente, d’envie de meurtre et surtout, d’excitation. Oui… Alkhmar était le plus excité des deux. Et il ne voulait pas s’arrêter. Il aurait d’ailleurs beaucoup, beaucoup de mal se retenir…

Je remarquai les griffes de Shinta sorties. Décidément, cette petite voulait ma mort. Elle avait sûrement très mal digéré le fait que j’aie gagné l’une des batailles. Mais Sixtine n’était pas encore à moi. Cela viendrait, certes, mais elle n’avait encore été dans mon lit. La bataille n’était pas encore finie. Et même, elle continuait de plus belle. Un rictus passa sur mes lèvres. Je plantai mes yeux dans ceux qui me fixaient déjà, et je me mis à rire. Un rire qui s’éleva dans les airs, comme un poison. Comme un décharge mortelle.




Je disparus et reparus en face d’elle, mon visage tout près du sien, ma voix sifflant comme celle d’un serpent à sonnette. Même si mes gestes étaient calmes et posés, mon aura meurtrière ne tenait pas en place, bougeant et s’agitant, faisant remuer l’air et vibrer le verre. Mon impatience augmentait en même temps que mes envies de meurtre.




Je rapprochai ma tête, comme pour l’embrasser, puis finalement je m’écartai, tout sourire. Une boule des ténèbres vint achever l’humain qui déjà agonisait. J’éclatai de rire. Un rire qui vint se répercuter sur les murs de la salle avant de me revenir aux oreilles. Un rire qui sonnait mauvais. Et je disparus.

Pour réapparaître presque instantanément derrière elle, mes mains sur les siennes, bloquant ses si féroces griffes. Mon corps collé contre le sien, ma tête sur son épaule, je relâchai l’étreinte sur mon aura, la libérant entièrement. Elle vint, comme un serpent, ramper le long du corps de Shinta. Tandis que l’une de mes mains rampa, elle aussi, sur le corps de ma fille. Je remontai le long de son bras, puis passant juste entre ses deux seins, j’allai caresser du bout des doigts la cicatrice que je lui avais faite, quelques jours plutôt. Un sourire passa sur mes lèvres.



Ma main se posa à plat et je la levai de quelques millimètres. Une douce chaleur enveloppa la plaie, puis la température monta, monta, monta et finalement, la cicatrice disparue. Elle était tout simplement étalée sur une plus grande surface, donc invisible. Je n’avais pas de pouvoir de guérison, mais d’autres pouvoirs intéressant un cerveau sur tout cela. Le cerveau aidait énormément. Puis ma main ayant finis son office, je la redescendis vers la main de Shinta. Je me mis alors a parler, d’une voix velouté et tendre, comme un doux nectar qui tombe dans la gorge, puis qui après être dans l’estomac, relâche tout son poison. Mais c’était délice sans nom, murmuré juste dans l’oreille de Shinta…


Je disparu de derrière ma très chère fille, et réapparu juste devant, toujours en lui bloquant les griffes, et mon aura meurtrière s’agitant de plus en plus. Je fus agité d’un léger rire, avant de murmurer, cette fois si juste devant la bouche de Shinta.



Un sourire naquit sur mes lèvres, un rictus mauvais. Mais j’étais on ne peut plus sérieux. Je tenais mes promesses, si Shinta voulait sa vie, je lui laisserai la vie sauve sans même faire couler une goutte de sang. Et j’étais prét à y mettre le prix.



Mes grands yeux dorés étaient plongés dans ceux de ma fille. Comme l’avais-je dit plutot, je n’avais aucune, mais alors aucune pudeur. Et concernant les incestes, cela me passait au-dessus. Je voulais l’humaine. Et si ma fille me voulait comme punition, cela m’arrangerais grandement.

Shinta avait de plus en plus de mal a se contrôler, mais elle devait tenir si elle ne voulait pas commettre une bêtise. Son père se moquait sans retenu d’elle et cela l’horripilait au plus haut point. Elle ne le lâcha pas du regard sentant son aura meurtrière augmenter. Elle l’écouta et se figea en le voyant apparaître juste face a elle, elle senti un frisson lui parcourir l’échine et lorsque les lèvres d’Alkhmar se reprochèrent des sienne son cœur accéléra immédiatement, étrange, pourtant lorsqu’on l’embrassait elle ne réagissait pas comme ça, mais cette homme n’était pas comme les autres démons.
Le maître des enfer recula laissant une Shinta frustrer au plus haut point, pourquoi jouait il comme ça avec elle ?

- Je vous montrerais qu’un jour je vous battrais….

Il disparu pour enfin réapparaître derrière elle. Elle senti ses griffe bloquer et son corps contre le sien. Elle reprit une grande inspiration pour tenter de se calmer mais son père lâcha son aura qui s’empara du corps de la jeune démone, elle frissonna de la tête aux pieds. Cette sensation exquise qui s’emparait d’elle lui arracha un soupir. Shinta était bien plus sensible a une délicieuse aura meurtrière l’entourant qu’a un stupide bouquet de fleurs.
La main l’Alkhmar se promena sur elle et arriva a sa cicatrise en l’effleurant légèrement, Shinta se contracta, son corps était également très sensible lorsque son père la touchait, il n’y avait que lui qui arrivait a la faire réagir de la sorte.

Elle regarda avec étonnement sa cicatrise disparaître puis frissonna de plus belle en entendant la voix de son père dans son oreille. Que voulait il dire par là ? Comment ça il était désoler ? C’était la première foi qu’elle entendait de mot sortir de la bouche de son père et malgré le fait qu’elle s’avait pertinemment qu’il n’arrêtait pas de mentir elle ne savait plus trop quoi penser.

Il disparu de nouveau et réapparu en face d’elle, elle avait toujours les mains prise , impossible de tenter de le tuer, de toute façon elle n’aurais pas réussi, elle devait avant tout devenir plus puissante.
Elle l’écouta en le fixant dans les yeux, cet homme n’arrêterait pas de la surprendre, alors qu’elle pensait enfin le connaître il lui prouvait le contraire, il était si différent d’elle. Il était facile de prévoir les réactions de Shinta comme il était quasiment impossible de prévoir celle d’Alkhmar.
Pourquoi la narguait il de la sorte ? Pourquoi jouait il avec elle comme ça ? Elle ne pu s’empêcher de lui lancer un regard noir lorsqu’il lui proposa de faire exprès de perdre devant les autres. Non elle ne souhaitait pas ça. Elle voulais ça tête, qu’elle lui la tranche alors qu’il se défendait de toute se force, qu’il ne face pas semblant de perde, qu’il perde réellement.
Lorsqu’il lui proposa son corps et écarquilla les yeux et le fixa de plus belle. Elle avait bien entendu ? si il proposait ça c’était qu’il acceptai, son père n’était pas du genre a se forcer a faire quelque chose qu’il ne souhaitai pas faire, sa il le désirai réellement soit il s’en moquait éperdument.

La princesse des ténèbres se mordit doucement la lèvres inférieur elle avança légèrement la tête pour l’embrasser. Bien sur quel désirait son corps, elle voulait tout de lui, elle souhaitai sa vie, son corps, son âme, son trône…. Elle souhaitait tout, elle le voulait au plus profond d’elle.

Elle rompit le baiser et le ne lâcha pas des yeux, ses yeux jaunes montraient les mélanges de sentiment qu’elle ressentait pour lui, c’était si étrange et tellement excitant.

- Tout se que je souhaite vous ne pouvez me le donnez.

C’était une fierté chez elle, même si elle souhaitai son corps elle n’allait pas le lui demander, une Tarhaz ne demande pas, elle prend sans se soucier si quelqu’un est d’accord ou non.
Elle ne le lâcha toujours pas des yeux et lui fit un large sourire.

- Et bien père, c’est la première foi que je vous vois ainsi. Cette humaine vous plais tant ? C’est pathétique.

Là elle avait fais quelque chose de vraiment dangereux mais Alkhmar l’avait pousser a bout, Shinta avait deux seille d’énervement, le premier était de hurler et de tuer tout se qu’il y avait autour, mais lorsqu’elle se retenait mais que son énervement augmentait de plus belle et n’avait plus de limite, se moqua éperdument de la hiérarchie, ne respectant plus rien, déjà quelle ne répétait pas grand-chose avant là c’était encor pire.
Il était impossible de la calmer, a moins de trouver la seul chose qui réussissait a la calmer, et a par les baiser de Sixtine ou le sang et la violence rien ne lui apportai assez de satisfaction pour qu’elle revient a elle.
Elle n’était pas vraiment dangereux lorsqu’elle avait atteint se stade, en faite si elle était dangereuse, mais pour elle-même.

J’écoutai les paroles, peu censées, de Shinta. Je la sentais déjà bouillire sous mes lèvres, frissonner d’excitation suite à mon aura dévastatrice. Je fis un sourire. Me battre ? Elle était bornée, très bornée. Têtue comme une mule et aveuglée par son envie de vaincre. J’étais maintenant derrière elle. Mon corps collé contre le sien, je sentais son cœur s’accélérer. J’adorais cette sensation, car je savais qu’il n’y avait pas que la peur qui déchargeait de l’adrénaline, mais il y avait aussi l’amour.

C’était certes un amour particulier, mais pour moi qui avais vécu ma vie dans une solitude la plus totale, et dont les seules personnes qui me voyaient, étaient des monstres sans cœur me rappelant sans cesse combien je haïssais ce monde. L’idée d’un sucide, bien que me paraissant trop lâche, avait bien souvent hantée mes nuits solitaires. Me sentir aimer, même de cet amour inconsidéré, emplie de perversité, de sang et de haine, me remplissais d’une certaine joie insondable. Mes deux autres fils n’étaient pas comme ça. L’un me haïssait et l’autre se souvenait à peine qu’il avait un père. Décidément, seule Shinta avait un semblant de sentiment pour moi.

Je sentais sous mes mains le corps de Shinta se contracter. Décidément ! J’avais des réactions sur elle inconnue sur d’autre. Ou plutôt, les siennes étaient franches et directes, pas mentis comme d’autre. Mon regard joyeux et chaleureux, comme d’habitude, plongé dans le sien qui me lançait des éclairs. Je vis que mes propositions plus étranges les unes que les autres ne l’enchantaient guère. Décidément, elle ne savait jamais ce qu’elle voulait ! Je vis son visage changer lorsque je lui proposai mon corps. Je vis qu’elle hésitait. Et la voilà qui m’embrassa. Je la laissai de toute évidence faire. Un baiser de plus, je n’allais pas cracher dessus.

Elle rompit son baiser avec la tendresse qui lui était dû, c’est à dire celle d’un éléphant essayant d’écraser une mouche qui l’agaçait. Je fis un sourire a cette pensée. La voilà qui se la jouait princesse respectant un quelconque honneur. Les démons n’avaient pas d’honneur, et Shinta en avait encore moins que les autres puisqu’elle manigançait dans l’ombre une rébellion, s’alliant avec d’autres races pour cet unique but. Non… Shinta ne pouvait pas me parler d’honneur. D’ailleurs, personne ne le pouvait. Et ceux qui l’avaient fait étaient tous morts. Sans exception. Et actuellement, Shinta prenait trop ses aises.

Sa dernière phrase me fit décocher un sourire haineux. Non, je ne voulais plus jouer. Mon aura meurtrière s’intensifia considérablement rendant l’atmosphère de la pièce aussi épaisse que du polystyrène. Dans le quel je me mouvais avec une facilité déconcertante : C’était mon monde. Un monde que j’étais le seul à comprendre, et ça m’allait très bien. Pathétique ? Moi ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité ou quoi !? Je bondis sur elle, la plaquant par le cou sur le mur d’en face. Ma voix sifflante n’avait plus rien à voir avec celle d’avant. Je murmurais néanmoins toujours à son oreille.




Je poussai un soupir, souris, et finalement la lâchai. Puis je me mis à parler d'une voix profondément triste et mélancolique. Je venais de la perdre, elle venait de me perdre.




Elle venait de redescendre considérablement dans mon estime. En faite, maintenant, je l’avais mise au même rang que le peuple mon esprit. S’en était affligeant. Elle qui était presque considéré comme mon proche le plus… Proche venait d’atterrire dans les bas fonds de mon esprit tordu. Détruisant au passage mes espoirs et mes idéaux. ‘Ce peuple souillé ne pourra jamais changer’, voilà ce que je pensais. Elle aurait mieux fait de se taire, sûrement.
Je fis volte face et m’apprêtai à sortir.

La réaction de son père ne l’étonna même pas, elle était habituer a êtres brutaliser de la sorte mais cela ne lui fit pas peur. Le souffle couper et le regarda dans les yeux, certes elle se moquait de se prendre des coups mais elle ne supportait pas êtres en position de faiblesse face a lui. Contre de la sorte contre le mur, la main de son père lui serrant le cou et l’empêcha de faire le moindre mouvement lui donnait un sentiment de faiblesse insoutenable. Elle lui lança un regarde noire et l’écouta malgré tout.

Ses paroles l’étonnant quelque peut mais elle les connaissait déjà. Que croyait il ? Qu’elle méprisait plus les humains que les démon ? Mais pourquoi croyait il qu’elle préférait torturer les humain que les démon ? Pourquoi elle partait faire des quêtes dans le monde des humains ? Pour elle les démons n’était que des créatures qui obéissaient au moindre de ses caprice, les humain quand a eux cherchaient continuellement a rester libres même si la morte les attendaient, certes ils étaient lâche, certain vendait père et mère pour survivre mais au moins ils ne s’écrasaient pas comme des larves devant elles.
Shinta le lâcha pas Alkhmar des yeux puis lâcha dans un souffle.

- Vous ne m’apprenez rien.

Son père fini enfin par la lâcher et Shinta se massa doucement le cou sans le lâcher des yeux. En senti cette tristesse dans sa voix et cela eu comme effet comme un poignard a la lame glacer dans la poitrine de la jeune démone. Elle le regarda et dit calmement.

- Sauf le respect que je vous dois je vous informe que vous avez tord … comment pouvez vous me juger alors que vous n’avez jamais tenter de connaître mon point de vue…

Elle avait été vexer au plus au point et sa colère et sa déception était si haute qu’elle avait encor une foi dépasser le stade où elle hurlai….. Maintenant elle était parfaitement calme et perdait toute retenu face a son père, elle devait même faire un effort considérable pour ne pas le tutoyer.
Ayant perdu toute limite elle rajouta toujours avec ce calme déconcertent.

- Comment pouvez vous prétendre êtres le maître de ses lieux alors que vous ne connaissez même pas votre propre progéniture ? Je vous déçois ? Certes de tout façon je n’ai jamais été haut placé dans votre estime…. J’apparais à vos yeux comme une gamine capricieuse et impertinente …. Vous ne vous êtes jamais demandez que je pouvait très bien cacher une autre personnalité ?

ça y ai elle en avait trop dit, mais il lui état impossible de retourner en arrière ni de s’arrête. Elle détestait êtres dans cette état mais cet homme avait un don pour dire les paroles qui la faisait le plus réagir.
Elle lâcha un soupir et lui tourna le dos lui manquant ainsi encor plus de respect et prononça des mots qu’elle allait sûrement le regretter amèrement.

- De nous deux c’est toi le plus misérable.

Non seulement elle venait de l’insulter mais en plus elle venait de le tutoyer. Elle resta là, face au cadavre du dernier humain qu’elle avait torturer, les yeux river sur son corps mutiler. Son père pouvait la tuer elle ne réagirait même pas, elle était si énerver qu’elle en avait perdu tout ses instinct de survie, maintenant la seul chose qu’il lui importait a ses yeux était de surpasser cette homme qu’elle venait de juger de misérable.