Le fleuve de la mort...lieu de rencontre? ( Alkhmar Tarhaz )

Mauvais signe ou pas, je marchai dans la direction du Styx. En faite je n’avais aucune idée en tête. Je pensai, songeai a ce qui ce passait dans mon royaume. L’ambiance du château me tapai sur les nerfs méchamment. J’ai sagement préféré prendre mes distances et chercher du calme plutôt que de faire mon habituel carnage. Du calme… Ce n’était que dans ces lieux maudits qu’on pouvait l’avoir. Tellement de légendes circulaient sur les eaux hantées de ce fleuve que personne, même les plus courageux démon, n’osaient si aventurer.

Quel fut donc pas surprise en apercevant la silhouette d’un Ange au bord de l’eau ! Mais je remarquai plusieurs choses, des détails. Il avait son regard perdu dans l’eau. Admirait il les âmes des defunts ? Tout le monde dit que ce fleuve est atroce et qu’il ne pouvait naître qu’aux enfers. Mais, c’était faux. La vie, la mort. Ce ne sont que des objets du grand cycle de la vie, la vie n’a pas de sens ni de raison d’être si la mort ne l’accompagne pas. Ce n’est pas de gaieté que je dis ça, mais c’est la vérité. Le Styx n’est pas au Enfers parce qu’il est mauvais, mais ce sont les Enfers qui ont été crée autour de ce fleuve parce qu’on le disait mauvais. Il y a là une nuance flagrante, et j’étais intransigeant sur ce sujet.

Le deuxième détail qui me frappai qu’après fut la couleur de ses ailes. Elles étaient noires ébènes. C’était donc un Ange déchu, qui n’avait plus sa place au Paradis. Que venait-il faire ici ? Mon insatiable curiosité m’emporta vers cet étranger.

Je m’approchai donc de l’individu en question et m’arrêta près de lui. Il était très beau, de toute évidence, c’était un don commun des Anges. Etre déchu ne lui avait pas enlevé ce détail alléchant. Je fis un sourire et commencai a faire les présentations… A ma manières.




Je fis un sourire, montrant que ma phrase n’était qu’ironique. Sauf s’il venait a m’agacer. Au quel cas il n’aurait même pas le temps d’avoir des regrets. Je l’aurai tué auparavant. Enfin… Je levai la tête dans le ciel. Le ciel… Il était noir, rempli de nuages de la même couleur. Il grondait, était constamment en éveil. Des éclairs le perçait parfois. Je détestai ce ciel. Depuis que j’étais né, depuis que j’avais croisé ces nuages sombres. Depuis que j’avais imploré sans aucunes réponses ce ciel qui impassible avait continué sa lutte contre lui même. On me disait fort, mais j’aurais voulut être assez fort pour changer ce ciel, pour qu’il devienne bleu, calme et apaisant. J’aurais voulu pouvoir transformer le ciel, et un jour, je pourrais le faire. Un jour ce ciel changera et deviendra aussi beau que celui des humains. Je fermai les yeux et fis un sourire.

Je rouvris les yeux et les posai sur la terre désolé des Enfers. Ca aussi, je le changerais. Cette terre est noire, hostile et dangereuse. Un jour, elle deviendra quelqu’un de bien. Il faut juste qu’elle mûrisse, qu’elle grandisse. Il faut qu’elle comprenne. Je m’accroupis et passa ma main dans la poussière noire comme une mère qui caresserait son enfant.




Je levai ma main et me redressai. Soudain, un brin d’herbe commença a pousser là ou précédemment j’avais caressé la terre meurtris. Elle n’avait pas supporté le chocs des démons et les insultes des humains et des Anges. A force d’absorber tout ce sang elle était devenue mauvaise, mais je le changerai. Je changerai ce monde.

J’étais plus clément envers les arbres, les plantes, la terre… Pour moi, seul ces créatures méritent la vie et mon respect. C’était mes seuls compagnons, et les plus belles créatures que le monde m’avait offertes… A force d’être dans mes pensées, j’avais oublié l’Ange…

J’avais complètement oublié l’Ange à mes côtés. Lorsque sa voix résonna a mes oreille, je sortis de ma torpeur, et retournai sur la terre ferme, un tout petit déçus.

Je tournai la tête afin d’observer mon interlocuteur… Qui faisait la moue. Il était adorable. Ange déchus ou pas, Alkhmar allait le mettre dans son lit, et ensuite il l’offrirait à ma fille, puisqu’elle adorait torturer les Anges. C’était une manie chez elle, une manie qui lui coûterait sûrement cher. J’arborai un sourire chaleureux et mes yeux ne le contredisaient pas. Ils étaient jovials et ouverts au monde, tel deux pépites d’ors qui luisaient sous un ciel sombre.

Je me penchai pour prendre caresser la terre de mes mains, puis je me relevai. Ecoutant patiemment l’Ange, et ne lui répondant pas tout de suite. En faite, je ne réagissais pas. Je restai sans mouvement, sans réactions, les yeux perdus dans le ciel grondant. Soudain, je me retournai vers l’être aux ailes noires et m’approchai de lui.
Je saisis sa main avec la mienne, un sourire charmant aux lèvres.




Je ponctuai ma phrase d’un sourire joyeux. Pour ne pas le rendre craintif a mon égard, je décidai de lui donner l’un de mes innombrables noms que personne ne connaissait.




Toutes ces questions à la file brûlaient déjà sur les lèvres. S’il faisait partie de la rébellion, ce serait encore plus délectable de le violer. S’il était réellement perdu, je le mettrais dans les services du château et s’il me disait avoir un lien avec mes enfants, je l’emmènerai pour s’expliquer avec moi et lesdits fils.

Mes questions étaient sorties si vite, et l’excitation avant la réponse était si grande, que je m’étais rapproché de l’Ange d’une manière considérable : Mon visage n’était qu’a quelque millimètre du sien. Remarquant ce détail, j’en profitai et posai mes lèvres sur les siennes dans un baiser furtif et doux. Avant de me reculer, en rigolant gaiement.

Mon rire s’éleva dans les airs comme le doux tintement d’une cloche de cristal. Je me reculai, sans pour autant lâcher la main de l’Ange Déchu. Puis avant même d’attendre les réponses, qui pourtant m’intéressai, je décidai de nous balader dans un endroit plus accueillant que le Styx. Je lui demandai donc.




Un sourire resplendissant naissait sur mes lèvres, j’agissais comme un gamin de huit ans. Evidement, puisque ma croissance s’était plus ou moins arrêté a ce moment là. Désormais, je réfléchissais comme un gamin, même si je savais bien évidemment être adulte et sérieux. Mais, en gros, ma façon de penser était celle d’un enfant. Pas de bien, ni de mal. Juste ce que je voulait faire. J’ajoutai donc.

Hiraku faisait mine de réfléchir pour savoir si la rencontre était bonne ou mauvaise. L'homme lui laisser libre arbitre...? Pourquoi pas...? Il prit une voie douce pour répondre calmement:

- Rencontrées des démons, n'es pas une bonne chose, je trouve... . Ils sont tous, enfin je supose cruel et méchant... . Etrangement, vous semblez plutôt gentil...pour un démon. A moin que vous ne cachiez votre jeux....Je me tompe...?

Il était peut être un peut du genre naif et enfant, mais il savez réfléchir aussi et faire les différencent bien qu'il le montre que très rarement. Soudain, il sentit que ce dernier lui serra fort la main, il grimaça, mais ne pronoça pas un mot, préférant ce taire. Hiraku regarda alors le démon, puis il sentit une légère colère émanant de ce dernier. Hoho serait-il en colère contre lui...? Pourtant il n'avait rien fait. Enfin bref.

Continuant de marcher dans cette endroit qui était mort, Hiraku avait répondut à toutes les questions de Cynefrio. Il se demander si l'homme le croyer, ho et à près tout il s'en ficher, s'il le croyer ou non. Du moment qu'il s'en sortait imdemne de cette endroit. Mais une chose lui indiquer tout le contraire, il ne savez pourquoi.

- Et oui, vous êtes le premier que je rencontre, normale c'est la première fois que je viens ici...

Hiraku prit une pose avant de reprendre d'une voie curieuse et surprise:

- Une rébellion parmit les démons...? Je croyer que les démons étaient tous dans le même camp...? Enfin suposé vue de ce que vous me dites... . Vous faites partit de cette rébellion...? Mais...

Il prit une voie suspicieuse avant de dire:

-...Mais pourquoi est ce que vous me dites tout ça...? Je comprend pas...j'ai rien à voir moi. C'est clair que ça doit faire étrange de voir une personne autre que démons au bord du Styx...., et...puis-je savoir ce que vous avez crû en me voyant....?

Oui, oui changeons ce sujet c'est beaucoup mieux. Manger quelque chose...? Hiraku regarda l'homme d'un air sidéré. Il ne s'attendez pas du tout à ce genre de question. Et puis, ou est ce qu'il compter l'ammenez manger...? Pas au chateaux ou vie le Roi quand même...? Soudain il entendit son ventre gargouiller.

Rougissant de honte, Hiraku baissa la tête et murmura d'une voie boudeuse en croisant ses bras contre son torse:

-A croire que ses mon ventre qui décide....je crois que ça veut dire oui....

J’entendis soudain monter à mon oreille le son de la voix de l’Ange Déchu. Alors, ainsi, tous les démons étaient cruels et méchants ? Ce n’était pas faux, mais sûrement pas vrai non plus. Sa voix vint se loger dans mon esprit. Ah ah, le petit se posait-il des questions ou alors, grâce à un hasard inouï, il avait put tomber juste du premier coup? L’un dans l’autre, je n’allai pas l’approuver gentiment et lui donner raison. Une intuition ne sauve pas une vie. Voilà ce que je sais et ce qu’il pourrait apprendre. Même si elles sont bonnes, elles ne sont que des sentiments, pas des preuves.

Tiens, si moi je cache mon jeu, on ne peut pas en dire plus d’Hiraku. Cette mine, toujours trop intéressé et innocente pour l’être réellement. Encore une fois, ce n’était qu’intuition. Nous mentions tous deux. Je pouvais au moins le laisser en paix sur le sujet des bobards et des comédies. Mais malheureusement, je n’étais pas assez bon et calme pour pouvoir oublier et simplement effacer. Tant qu’il continuait à avoir des doutes, je continuerai à en avoir. C’était parfait, une sorte d’harmonie compréhensive vis à vis de l’autre.

La première fois qu’il venait ici ? Après tout, c’était probable, je ne l’avais jamais vue. C’était d’ailleurs rare que je ne voie pas du monde. La plus part du temps, les étrangers qui venaient ici n’avaient qu’une idée en tête : Se plaindre. Pour une vie, pour un vol, pour un viol, pour un autre truc quelconque. Ils me racontaient leurs vies avec un enthousiasme affligeant. Et moi je devais supporter tout ça, dire que j’allais faire réparer. Ils repartaient heureux. Sauf quand je les tuais.
Bon, j’avoue, j’avoue, ça arrivait assez régulièrement ! J’espérai qu’en faisant ainsi, ils arrêteraient de me farcir de leurs conneries plus grosses qu’eux-mêmes ! Je tendis l’oreille. Voilà qu’il posait des questions, et bien pertinentes. Trop, même.
Décidément, ce gamin posait trop de question pour être crédible.

Bon, il faudrait que j’arrive à lui tirer les vers du nez. Oh, d’une manière ou d’une autre, j’y arriverais. Le problème était de savoir quand. Or justement, le temps manquait cruellement. J’allais ouvrire la bouche afin d’insister : On est toujours plus ouvert devant un bon repas. Mais son estomac prit les devants et annonça toute l’ampleur de sa faim. Je fis un petit sourire taquin.





Nous commencions à peine de marcher que déjà, la capitale s’élevait devant nous. En faite, le mot ‘capitale’ est faux pour cette ville : Il n’y a qu’une seule ville au royaume démoniaque. Immense, lugubre, mal famé et sale, mais qu’une seule. C’est justement parce que les démons non pas le sens de l’espace et de la propreté qu’ils peuvent vivre tous entassés comme des porcs.
Traverser le Styx ? Cela était impossible, c’est un fleuve où vont les âmes des morts. Il n’y a qu’un pont et le monde ce garde bien de le garder : Le peuple à trop peur de ce fleuve. D’ailleurs, on ne croise personne prés du Styx. Par chance, nous étions du bon côté de la rive et donc nous n’eûmes pas besoin d’aller chercher ce pont.
Donc le ‘village’ que rencontra Mushrambo, était seulement la capitale des Enfers, la ville la plus grande de tous les royaumes. Mais bon.

Lorsque enfin nous avions atteint la ville, quelqu’un s’approcha.
Cette personne ne pouvait de toute évidence pas sentire mes pulsions meurtrières puisque je les camouflais.
Je ne suis pas roi pour rien, et si je les avais laissés, Hiraku les aurait détectées. Je n’étais qu’un civil, et j’étais tellement doué dans ce domaine de camouflage qu’à vu d’aura, c’était Hiraku le plus puissant. Les gens qui connaissaient mon visage pouvaient me reconnaître mais le peuple s’avisait bien de me montrer du doigt : Ils savaient tous ce qui leur arriverait si quelqu’un me dénonçait. Donc comme deux touristes, nous observions la personne devant nous.

De toute évidence, puisqu’il s’arrêta devant nous, je lui adressa un sourire poli et n’essaya pas ‘d’entrer dans son esprit’, comme tu dis. Car si moi camouflai mon aura, Mushrambo ne le faisait pas du tout. De plus, la politesse m’interdisait de dévisager les gens. Je remarquai qu’il dévisagea ensuite Hiraku. S’étaient-ils déjà rencontrés ? enfin qu’importe. J’affichai une mine ravie, et lui répondit gaiement, soulignant au passage sa malpolitesse.





Je me tournai vers Hiraku et lui soufflai à l’oreille.





Puis lui adressant un sourire taquin, je me tournai vers l’homme devant moi. Je fis une pirouette, ressemblant à une révérence développée à son paroxysme. Puis je commençai à marcher, embarquant l’Ange déchu number one par la main. J’entamais une conversation amicale avec… Deux Anges déchus ? Décidément, cette journée était particulièrement excitante.


« Alors, que venez vous faire par ici ? Et toi, que veux-tu manger ? Au faite, voudriez vous manger avec nous ? Vous devez être affamé. »


[Désolé d'avoir tout corrigé mais je ne pouvais pas te laisser décider de ce que je faisais, sinon, ce ne serait pas un rPg Role PLAYER game XDD De plus, je suis le roi des enfers, pas un imbécile qui laisserait son aura se promener. Joue le jeu, même si ca t'embete, ce ne sera que plus marrant aprés XDDD Enfin désolé il fallait que je fasse ma chieuse ^^' ]

Mushrambo regarda les deux compagnons droits dans les yeux en particulier celui de l'ange dechu car celui si lui disait quelqu'un qu'il avait rencontre dans le passer après tout mushrambo avait plus de 5000 ans il était tout à fait logique que celui si ne se souvenait pas de tous les noms et visage, les deux compagnons se présenta.


« Bonjour, je m’appelle Cepheus Cynefrið. La demeure de la princesse ? Qui ne la connaît pas ! Suivez moi je vous prie. »

Quand a l'autre ange dechu il répondit :

Et moi je m'appelle Hiraku Kamiya...

[i]A vrai dire il s’en foutait du nom des deux personnages qui se trouvaient devant lui tous ce qu’il avait envie c’était d’aller’ voir la princesse des enfers et accomplir sa vengeance envers ceux qui lui on pris la vie de sa bien aime.
Puis Mushrambo décidas d'être polie envers ces deux personne qui s'était présenter et fit de meme afin que ceux ci n’est pas envie de l’attaquer meme si sa soif combattre ne s’était pas éteint.[/i]

- Je m'appelle Mushrambo Nigelllo et je viens de re hamas pour m'entretenir avec la princesse des enfer pour des affaire personnel.

Le démon lui posa une question comme s’il avait faim mushrambo lui répondit.


"Non-merci je viens de manger. "

En fait Mushrambo n’avait pas faim il voulait arriver devant la princesse des enfers que de se retrouver avec un sous fifre qui ne pensai qu’a manger et à se goinfrer (sans compter que Mushrambo ne voulais pas devenir obèse XD ) mais il se méfiait aussi du démon car il n’aimait le regard de celui ci a croire que l’on pouvait avoir confiance en ses créatures hideuse et dénouer d’émotion.

Puis Mushrambo dit :

"je vous remercie de m'emmener jusqu'au château messieurs»

puis il suiva les deux acolytes a travers s les enfers la main toujours sur sa poigner d’épée